Originally from: French International Arbitration Law Reports

 

 

 

Sur la requête présentée par la Société anonyme IMPEX, dont le siège est à Strasbourg (Bas Rhin), 2 allée de la Robertsau, agissant en la personne de ses directeur, administrateurs et tous représentants légaux, domiciliés audit siège, en cassation d'un arrêt rendu le

20 juin 1969 par la Cour d'appel de Paris (22ème Chambre), au profit: 1°) de la Société en date du 13 octobre 1969.

 

PAZ PRODUZIONE LAVAROZIONE, dont le siège est à Rome, 47 Via G. Antonelli, poursuites et diligences de ses directeur, administrateurs et tous représentants légaux, domiciliés audit siège, 2°) de la Société MALTERIA TIRRENA S.P.A., dont le siège est à Rome, 47 via G. Antonelli, poursuites et diligences de ses directeur, administrateurs et tous représentants légaux, domiciliés audit siège, défenderesses à la cassation.

 

La demanderesse invoque, à l'appui de son pourvoi, les trois moyens de cassation suivants

 

Premier moyen : "Violation des articles 1131, 1134, 1582 et suivants du Code Civil, 7 de la loi du 20 avril 1810, défaut de motifs, dénaturation des documents du débat, manque de base légale, en ce que l'arrêt attaqué a confirmé la sentence arbitrale prononçant la résolution du marché aux torts de la Société Impex et l'a

 

TRANSLATION

 

Upon the petition filed by IMPEX, a French corporation (société anonyme) having its registered office at 2 Allee de la Robertsau, Strasbourg (Bas Rhin départment) represented by its directors and all legal representatives, domiciled at said office, with the Cour de cassation on 13 October 1969 to overturn the decision rendered by the Court of Appeal of Paris (22nd Chamber) on 20 June 1969 in favor of 1) the Company,

 

PAZ PRODUZIONE LAVORAZIONE, having its registered office at Via G. Antonelli, 47, Rome, acting through its CEO, directors and all legal representatives, domiciled at said office, 2) MALTERIA TIRRENA S.P.A., having its registered office at Via G. Antonelli, 47, Rome, acting through its CEO, directors and all legal representatives, domiciled at said office, respondents.

 

In support of its petition the applicant relies on the following three arguments:

 

First argument: “Breach of Articles 1131, 1134, 1582 et seq. of the Civil Code, Article 7 of the law of 20 April 1810, failure to state reasons, distortion of the documents of the proceedings, absence of legal basis, to the extent that the challenged decision upheld an arbitral award which rescinded the sales agreement, causing injury to Impex and